Dans le cadre de projets eTwinning

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La créativité et l’ esprit ne peuvent s'épanouir que dans un milieu qui respecte l'individualité et célèbre la diversité.

jeudi 24 juin 2010

Les algues, notre futur plein d'essence ?


Les algues pourraient bientôt remplacer le pétrole pour faire rouler nos voitures. Elles ont l'avantage de rejeter beaucoup moins de CO2 que le pétrole et leur production est peu polluante. À quand, le premier plein d'algues ?


Que dit l'@ctu sur les algues ?

« Bonjour, je voudrais un plein d'algues, s'il vous plaît ! » : voilà ce que l'on pourrait bientôt entendre dans les stations-service. Car selon certains chercheurs, l'algue serait le carburant du futur.

On le sait, le pétrole est une ressource limitée. Selon les experts, d'ici quelques décennies, les réserves pourraient être épuisées. De plus, le pétrole est très polluant.

Mais, sans pétrole, comment faire fonctionner nos voitures ?

Depuis quelques années, les scientifiques mettent au point des « biocarburants », une sorte d'essence « verte » peu polluante qui remplace le pétrole. Certains de ces biocarburants sont déjà utilisés. Par exemple, on peut rouler grâce au bioéthanol qui est fabriqué à partir de la betterave, de céréales ou de canne à sucre. Les biocarburants ou agrocarburants représentent aujourd'hui 2 % des carburants utilisés

Mais les biocarburants ne sont pas si parfaits. Ils ont l'inconvénient de concurrencer l'agriculture classique. En effet, pour cultiver les végétaux indispensables aux biocarburants, il faut disposer de beaucoup de terrains cultivables et d'eau.

D'où l'idée d'utiliser les algues pour faire rouler nos voitures. Elles ont l'avantage de se produire rapidement et de rejeter peu de CO2, le gaz responsable du réchauffement climatique. De plus, la culture d'algues se fait dans des bassins et prend donc peu de place. Les algues sont très productives, pendant leur croissance, elles accumulent beaucoup de graisses qui servent à la fabrication du carburant.

Des tests ont déjà été effectués et ça marche ! La preuve : un avion a décollé le 8 juin dernier et a survolé Berlin grâce à de l'algocarburant !


D'où vient le mot « algue » ?

Le mot « algue » vient du latin « alga ». L'algue est un végétal aquatique n'ayant ni fleur, ni racine, ni graines, ni feuilles. Il en existe trois sortes : l'algue verte, l'algue rouge et l'algue brune. On utilise déjà les algues dans l'alimentation et dans les cosmétiques, et bientôt elles pourraient devenir une nouvelle source d'énergie...

(Coline Arbouet : 1 jour 1 Actu)

lundi 21 juin 2010

Auguri etwinning





Il mondo si spalanca agli occhi



La minaccia dell’ estinzione spinge molti biologi a voler capire in fretta la biodiversità nel mondo, in alcune zone gli habitat sono stati talmente alterati, che ormai ne rimane appena qualche traccia.


Lo studio della biodiversità può essere svolto a diversi livelli, sia nel campo per valutare gli organismi presenti, che in laboratorio per individuare le origini delle specie.
Terry Erwin, entologo dello Smithsusian Instituion, con la sua squadra ha deciso di studiare biodiversità nella foresta pluviale dell’ Ecuador.
L’ avventura inizia alle quattro del mattino, in silenzio tutti arrivano nel luogo deciso per lo studio.Erwin riempie di insetticida biodegradabile una coppia di nebulizzatori, mentre altri sistemano dei teli bianchi sospesi a distanze irregolari; poi, Erwin accende il nebulizzatore e lo porta verso il cielo.
Il rumore del motore rovina il silenzio, mentre una sottile colonna di acre fumo azzurrino si alza avvolgendo ogni fronda. Passati pochi secondi gli insetti cominciano a cadere. Fare un inventario degli insetti è importante perché ci da la misura della biodiversità della foresta. Più di 650 specie sono coleotteri, in un’ altro mucchietto ci sono: cavallette dai colori brillanti, libellule, mantidi, formiche, acari, api e ragni.
Con studi di questo tipo, gli esperti hanno classificato 350 mila specie di coleotteri, 1/5 delle forme viventi e ne restano da scoprire milioni.

In un laboratorio di Oxford, un genetista studia la varietà della vita.

Rainey usa dei batteri per realizzare una foresta pluviale in miniatura, marca un batterio in modo che lo si possa riconoscere, lo inserisce in una provetta con terreni nutritivi dove il batterio si riproduce e si diversifica, in base agli habitat della provetta.
Rainey osserva che non tutte le colonie batteriche si svilupparono ammassate anzi occuparono spazi separati per non entrare in conflitto tra loro.
All’inizio della vita, poche forme viventi poterono esplodere ed invadere la terra occupando i numerosi ambienti naturali vuoti.
Le differenti specie, quindi, sono originate da due fattori:
- l’ opportunità ecologica
- la competizione.
Gli animali, come le piante, mutano al cambiare del clima e dal regime delle piogge. Ad esempio, alcune specie aumentano con le piogge mentre altre diminuiscono o spariscono.
Il continuo rimescolamento delle specie contribuisce a tenere alta la biodiversità: la biosfera è come una biblioteca contenete moltissimi libri dei quali non abbiamo terminato di leggere neanche il primo, quindi non dobbiamo correre ilo rischio di bruciare tutto prima conoscere.
L’ unica cosa che ci rimane da fare è salvaguardare la biodiversità.


(Riassunto  di un articolo pubblicato sulla rivista National Geographic del febbraio 1999)


(Aneta-Lisa-Serena)

Solstice d'été et ...Fête de la musique !





Fête de la musique : des citrouilles et des carottes en concert !


Depuis 29 ans, l'été se fête en musique ! La Fête de la musique, qui a lieu ce soir dans toute la France, est l'occasion de te faire découvrir un groupe pas comme les autres : le Vienna Vegetable Orchestra, dans lequel courgettes, céleris et poivrons remplacent les instruments traditionnels.

Du côté de l'@ctu ?

Qui a dit que faire de la musique ce n'était pas de la tarte ? Prends une courge, une carotte, trois poireaux, quelques poivrons, épluche-les, perce-les, taille-les, et le tour est joué : souffle, tape, siffle ! Tu verras, les légumes possèdent des dons insoupçonnés.

En matière de musique, les possibilités semblent infinies. La preuve, depuis 1998, le Vienna Vegetable Orchestra (Autriche) a lancé un orchestre de... légumes ! Avant chaque concert, les onze musiciens se rendent au marché. Ils tâtent chaque légume pour choisir les plus harmonieux. Et, en deux coups de cuillère à pot, ils transforment chaque végétal en instrument ! Une flûte-carotte, un violon-poireau, une trompette-poivron, des maracas-céleris, une timbale-salade. Leur popote musicale est bien rodée. Et le résultat est saisissant : une musique aux petits oignons ! Impossible d'imaginer qu'il s'agit de légumes. Jazz, techno, musique contemporaine, le style varie en fonction des saisons et donc des légumes !
Le Vegetable Orchestra de Vienne a l'avantage d'être 100 % écolo et recyclable ! Chaque instrument dure le temps d'un concert ; à la fin, tous les légumes finissent dans une grande cocotte et sont dégustés par les musiciens et les spectateurs.







D'où vient la Fête de la musique ?


En 1982, Jack Lang, alors ministre de la Culture a pour ambition de faire descendre la musique dans la rue. À l'origine de cette idée : une étude sur les pratiques culturelles, qui montre que 5 millions des Français et près d'un jeune sur deux jouent d'un instrument de musique. Jack Lang décide alors d'organiser un grand rassemblement musical, le 21 juin, jour de l'été, avec pour mot d'ordre « Faites de la musique, Fête de la musique ». Depuis, cet évènement est devenu un rendez-vous incontournable des amateurs de musique. Il est aujourd'hui repris dans de nombreux pays.

Des infos sur la musique écolo :

La musique écolo a le vent en poupe. Partout dans le monde, des innovations plus inventives les unes que les autres voient le jour chaque année. Voici quelques initiatives originales :

. Chaque année depuis 4 ans, en Norvège a lieu le Ice Music Festival : les instruments sont taillés dans la glace.





. En banlieue parisienne, l'atelier Lutherie urbaine fabrique des instruments à partir de matériaux recyclés.





(Coline Arbouet : 1 Jour 1 Actu)

vendredi 18 juin 2010

Inondations


Des images des inondations qui se sont abattues dans le Var  mardi 15 juin.

Publication des résultats...


...de l'année scolaire !

jeudi 17 juin 2010

Méfiez vous des idées qui puent !

Contre la libération de la parole raciste SOS Racisme lance une campagne nationale contre la libération de la parole raciste


Des affiches choc pour faire réfléchir : SOS Racisme, lance cette semaine une campagne qui s’attaque aux préjugés et aux discriminations racistes. Selon l’association, les propos racistes sont trop banalisés en France.

« Méfiez-vous des idées qui puent ! » Ce slogan s’affichera dès cette semaine sur des panneaux publicitaires. Sur les photos : des personnes reniflant du… papier toilette ! De quoi attirer l’attention des Français ! Et c’est bien, là, l’objectif de l’association SOS Racisme, à l’origine de cette campagne. Avec ses affiches, elle veut dénoncer une « libération de la parole raciste en France ».

Les paroles racistes se banalisent

Car selon SOS Racisme, les propos racistes sont trop banalisés en France. Souvent véhiculés par les médias, les hommes politiques ou encore Internet, ils stigmatisent des catégories de population. Les jeunes de banlieue, les immigrés et les musulmans sont les plus touchés par ces discriminations. L’association met en cause le débat sur l’identité nationale, qui aurait aggravé cette banalisation.

Les constats de SOS Racisme sont confirmés par des études sérieuses

Le Conseil de l’Europe, un organisme chargé de veiller à la protection des droits de l’homme en Europe, a publié, hier, un rapport dénonçant les dérives racistes. Il apparaît que les discriminations raciales sont encore trop nombreuses en France, notamment en matière d’accès à l’emploi et à l’éducation.

« Ne devenez pas le porte-parole de l’intolérance », écrit SOS Racisme sur ses affiches. Les propos racistes ne doivent jamais être considérés comme banals. Les dénoncer est un moyen de lutter contre le racisme.

D’où vient le mot « racisme » ?

Le terme « racisme » est issu de « race » provenant de l’italien « razza » qui a pour origine le mot latin « ratio », qui signifie : espèce, ordre, catégorie. Les races sont les différentes catégories ou familles d’être humains, classés selon leurs origines. Mais cette classification n’a aucun sens scientifique, et elle est à l’origine du racisme : une théorie qui consiste à croire que certaines races ou familles sont supérieures à d’autres. Une attitude qui conduit inévitablement à mépriser celles ou ceux qui n’appartiennent pas à sa famille ou à sa catégorie.

( Coline Arbouet - 1 Jour 1 Actu )

vendredi 11 juin 2010

En 2050, on mangera des insectes !



En 2050, il faudra nourrir 9 milliards d’êtres humains sur la planète. Pour faire face à ce défi, l’ONU propose de remplacer la viande et le poisson par… des insectes ! De nombreux pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine s’y sont déjà mis, alors pourquoi pas nous ?


D’où vient le mot « insecte » ?

Le mot « insecte » vient du latin « insectus », qui signifie « divisé en parties ». Un insecte est un animal invertébré articulé, dont le corps est divisé en trois parties : une tête indépendante du thorax, qui comprend trois anneaux portant chacun une paire de pattes. La plupart ont des ailes.

Que dit l’@ctu ?

Un petit ragoût de sauterelles, des punaises en sauce, des frites de scorpions, une pizza aux larves ? Dans certains pays, en Asie notamment, les insectes cuisinés occupent la même place dans l’alimentation quotidienne que notre plat de pâtes. Mais pour nous, manger des insectes, c’est plutôt dégoûtant ! Et pourtant, il va peut-être falloir les aimer, parce qu’ils pourraient atterrir dans nos assiettes d’ici quelques années.

Les insectes sont bourrés de vitamines !

L’ONU estime que pour pouvoir nourrir toute la population humaine en 2050, il faudra remplacer la viande et le poisson par des insectes ! Pour la FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture), les avantages de l’entomophagie – le fait de manger des insectes – sont nombreux. D’abord, ces petites bébêtes, peu ragoûtantes, ont pourtant de grandes vertus nutritionnelles. Elles contiennent des protéines, des lipides, des minéraux mais aussi des vitamines. Autre gros avantage, les insectes se reproduisent rapidement et en grande quantité. Ils ont besoin de peu d’eau et de nourriture pour se développer et sont faciles à élever. La production d’insectes comestibles serait donc beaucoup plus rentable que celle de la viande ou du poisson. D’autant plus que certaines espèces de poissons sont menacées.

L’ONU prévoit donc d’encourager la consommation d’insectes.

En Asie, en Afrique et en Amérique latine, les insectes font partie des aliments courants. Dans ces régions, les habitants consomment 1 400 espèces d’insectes ! Fourmis, chenilles, araignées, scorpions, criquets, etc. Par ailleurs, nous absorbons, sans le savoir, environ 500 grammes de résidus d’insecte par an, en croquant un fruit ou un bout de pain !

( Coline Arbouet -  1 jour 1 Actu)


mercredi 2 juin 2010